Florence IOOS

Ce que tu voulais faire en 2008 lorsque tu as eu ton bac ?

Je n’en n’avais aucune idée! J’ai pris donc la voie la plus large (et dans laquelle j’avais de bonnes notes) : le commerce/économie.

Ce que tu as fait depuis 10 ans et ce que tu fais aujourd’hui ?

Mon bac en poche (mention ASSEZ BIEN, je pensais que je n’allais pas réussir dans la vie!!), j’ai étudié 3 ans à l’Institut Catholique de Lille (FLSEG) en finance. Et plus particulièrement en double cursus : l’après- midi, nous avions des cours préparatoires afin de passer les Concours en école de commerce.

Par la suite, j’ai donc rejoint EUROMED (maintenant Kedge Business School) à Marseille. Le pied pour une chti! Découvertes, apprentissage, rencontres, le soleil et la mer…!

Durant ce cursus j’ai fait plusieurs stages : chez Hermès dans l’achat à Lyon, chez Lanvin et Dior en Marketing à Paris (développement et opérationnel). J’avais trouvé ma voie, et qui plus est dans un secteur qui me plaisait (milieu de la mode, de la bijouterie/joaillerie). 

J’ai ensuite travaillé (CDI) 3 ans chez Agatha en tant que Chef de produits Bijoux. Actuellement je suis chez Guérin Joaillerie (groupe Galeries Lafayette) en tant que Chef de produit Joaillerie, à Paris.

Je ne suis pas loin de ma campagne natale, je peux ainsi y revenir souvent pour me ressourcer. 

Et si c’était à refaire ?

Je ne changerais strictement RIEN!

Que ce soit à Genech, en passant par Marseille, les valeurs et l’apprentissage que j’ai reçus dans mon parcours étudiant m’ont conforté en l’avenir.

Peut-être… un peu moins de pression dans les études. Quand on est travailleur… Ça paye, il faut être confiant et se donner les moyens d’y arriver. 

Quels souvenirs/anecdotes de tes années lycée à l’Institut ?

Ce que je retiens principalement c’est la BIENVEILLANCE des professeurs envers les élèves (volonté de voir grandir et réussir), la COHESION entre toutes les filières (agricoles comme générales), on riait bien tout ensemble (!!), et LE PAYSAGE, le cadre quel rêve de regarder le tableau, tourner la tête et voir des animaux! C’est unique!

Nathan BOUNIE

Ce que tu voulais faire en 2008 lorsque tu as eu ton bac ?

Lorsque j’ai eu mon Bac, mon projet professionnel n’était pas encore bien clair mais était lié à l’économie. J’étais très intéressé par l’idée de devenir journaliste économique mais aussi professeur d’économie.

Ce que tu as fait depuis 10 ans et ce que tu fais aujourd’hui ?

Après mon Bac, j’ai suivi des études d’économie entre le lycée Gaston Berger de Lille (prépa), l’Université de Lille 1, l’Université de Vilnius (en Erasmus), Sciences Po Lille et l’Université de Grenoble. Puis j’ai réalisé un doctorat d’économie à l’Université Paris-Est, plus précisément dans un institut de recherche qui s’appelle l’IFSTTAR. Après une année en tant qu’enseignant contractuel à l’Université de Lille 1,  je suis actuellement chercheur contractuel à l’IFSTTAR, mais j’envisage de me ré-orienter, dès l’année prochaine, vers l’enseignement de l’économie dans le secondaire.

Sur mon temps libre, je suis également Président de l’association Sock en stock dont l’objet est la collecte de chaussettes inutilisées, leur lavage et tri, et leur redistribution gratuite sous forme de paires reconstituées.

Et si c’était à refaire ?

Oui, sans hésitations.

Et si c’était à refaire ?

L’environnement incomparable de l’Institut (les vaches et les calèches qui passent devant les salles de classes, le cross dans les champs…), le voyage au Sénégal du Comité Départ, les pains au chocolat à la récré du matin et le carnaval du dernier jour de classe !!

Corentin ROMAGNY

Ce que tu voulais faire en 2008 lorsque tu as eu ton bac ?

En sortant de l’Institut, je voulais faire de la musique et du cinéma.

Ce que tu as fait depuis 10 ans et ce que tu fais aujourd’hui ?

J’ai fait une licence d’Arts et culture et je me suis rendu compte que ça ne me mènerait pas là où je voulais aller donc je me suis mis à réaliser des courts métrages dans mon coin avec Pierrick Chopin, dans le but de me former et de rencontrer des gens. En parallèle, je faisais de la musique (batterie), j’ai eu plusieurs groupes avec lesquels j’ai joué dans divers endroits (festivals, salles, bars etc.). Finalement, j’ai débarqué à Paris. Là-bas, j’ai été embauché comme musicien par une chanteuse qui commençait à se faire un nom et ça m’a permis de vivre de la musique pendant quelques temps. Je continuais à réaliser des courts métrages à côté avec lesquels j’ai pu aller dans plusieurs festivals et remporter quelques prix. Pour vivre je faisais également toutes sortes de petits boulots dans le cinéma ou la vidéo (figurant, cadreur, monteur etc.). J’écrivais surtout beaucoup de scénarios, ce qui m’a amené, après 3 ans à Paris, à signer mon premier contrat de long métrage avec une maison de production. La même année, j’avais besoin de changer d’air, j’ai suivi une formation de programmation informatique (ça m’intéressait… maintenant je sais coder !). Pour finir, j’ai passé un concours pour entrer au CEEA (conservatoire européen d’écriture audiovisuelle), qui est une des formations les plus prestigieuses de France avec la FEMIS en matière d’écriture scénaristique, et j’ai été sélectionné parmi les 12 personnes prises chaque année. Voilà… donc en ce moment j’écris tous les jours et j’adore ça.

Et si c’était à refaire ?

J’irais en filière S plutôt qu’en ES car cela m’aurait permis de faire une licence de physique et enchaîné sur un doctorat en physique quantique parce que c’est quand même fascinant la physique… et puis ensuite, une fois que j’aurais eu un regard plus érudit sur notre univers, là j’aurais pu reprendre l’écriture scénaristique 😉

Quels souvenirs/anecdotes de tes années lycée à l’Institut ?

Mes années lycées… ? Des souvenirs concrets il y en a beaucoup. Mais ce qui me rend le plus nostalgique, peut-être même mélancolique, c’est plutôt le souvenir d’un état émotionnel. J’ai l’impression que c’est une période pendant laquelle mes sens étaient les plus réceptifs. Tout ce qu’on vit on le vit à fond. Si l’on est amoureux, c’est passionnel. Si l’on est heureux, on a envie de le crier. Si l’on est triste, on a envie de mourir. Nos amis sont nos meilleurs amis, nos ennemis sont nos pires ennemis. Et tout ça avec une innocence, une inconscience qui nous permet de vivre au jour le jour et de vivre vraiment, sans calcul en fonction du passé ou de l’avenir. Et ça c’est un sentiment, un état, que j’aimerais vraiment revivre une fois…

Sophie LEHAGRE

Ce que tu voulais faire en 2008 lorsque tu as eu ton bac ?

Lorsque j’ai eu mon bac, je souhaitais devenir diplomate si je me souviens bien. J’ai aussi voulu devenir archéologue, dentiste, scénariste, écrivain, avocate… Bref, 2008, c’était les relations internationales qui m’intéressaient.

Ce que tu as fait depuis 10 ans et ce que tu fais aujourd’hui ?

J’ai rejoint Sciences Po Lyon après une année de prépa à la catho de Lille. J’ai adoré. Je me suis tout de suite spécialisée sur l’Asie ce qui m’a permis de passer un an à Taiwan, 3 mois à Pékin et 6 mois à Shanghai en stage de fin d’études. Après la Chine, je suis rentrée à Lyon retrouver mon cher et tendre et j’ai passé un an à écrire un roman sci-fi en étant serveuse à côté. Puis, nous sommes partis tous les deux à Hong Kong où j’ai travaillé pendant trois ans en tant que chasseuse de têtes. 2018 est une année charnière puisque nous venons de déménager à Melbourne, Australie, et que nous allons nous marier !

Je suis à la recherche d’un emploi, à Melbourne donc, dans le domaine du recrutement.

Et si c’était à refaire ?

Si c’était à refaire, je reprendrai les mêmes potes, je referai les mêmes bêtises, tout en profitant deux fois plus car c’était si bien l’insouciance !

Quels souvenirs/anecdotes de tes années lycée à l’Institut ?

Je garde un souvenir très chaleureux et très doux des années Genech. Ce sont ces années qui ont fait de moi ce que je suis, j’y ai connu mes premiers émois, mes premières déceptions, j’en suis sortie grandie ! Et puis il y a la MDL, les vaches, le professeur d’éco, les petits pains au chocolat… haha ! Que de bons souvenirs !

mélanie SOUILLE

Ce que tu voulais faire en 2008 lorsque tu as eu ton bac ?

J’étais bien décidée à travailler à l’étranger et particulièrement pour ou dans un pays hispanophone. Je n’avais pas d’idée précise de métiers mais une fois était sûre, je serai amenée à parler espagnol et anglais au quotidien.

Ce que tu as fait depuis 10 ans et ce que tu fais aujourd’hui ?

Après mon BAC ES, j’ai obtenu un DUT « Techniques de commercialisation » puis j’ai concrétisé mon projet d’aller vivre à l’étranger en suivant une licence commerce internationale à Huelva en Andalousie pendant 1 an. À mon retour en France, j’ai intégré l’IAE de Lille en MCC (marketing communication, culture). Je suis ressortie diplômée en 2014 après avoir passé mes 2 années de Master en alternance. J’ai travaillé 2,5 ans dans la Grande Distribution en marketing et communication puis j’ai ensuite rejoint une Start-Up à Rennes où j’ai pu exercer mon métier de chef de projet marketing/com’ pendant 2,5 ans également. De retour à Lille, depuis presque 1 an, après une courte expérience de chargée de communication en Chambre de commerce, je suis revenue à mes 1ers amours, à savoir le travail en agence de communication où j’occupe le poste de Social Media Manager. Il s’agit de gestion de projet au sein d’une agence de com’ digitale spécialisée dans les médias sociaux.

Et si c’était à refaire ?

J’ajouterais une année à l’étranger en plus dans mon parcours, dans un pays anglophone de préférence mais sinon je dois dire que je suis là où je voulais être finalement !

Quels souvenirs/anecdotes de tes années lycée à l’Institut ?

L’institut me manque dans le sens où c’était un super environnement pour apprendre… les pauses où nous pouvions avoir des petits pains et pommes du verger … ça n’avait pas de prix, la MDL où la radio et les parties de Jungle Speed rythmaient nos midis… de bons et précieux souvenirs !
Et puis, j’y ai rencontré des personnes formidables dont certaines sont encore aujourd’hui mes meilleures amies et pour ça, je ne changerais absolument rien !

Lucile De Clercq

Ce que tu voulais faire en 2008 lorsque tu as eu ton bac ?

Je ne savais pas trop ce que je voulais faire… plutôt ce que je ne voulais pas faire : Des métiers qui demanderaient des compétences scientifiques !

Ce que tu as fait depuis 10 ans et ce que tu fais aujourd’hui ?

Je suis partie faire un DUT TC à l’IUT de Valenciennes, puis un Master Marketing et Marketing Direct à l’IAE de Lille. J’ai fait ma dernière année en alternance au sein d’Auchan E-Commerce France ! Mais malgré mes études tournées vers le marketing, j’ai rejoint le service informatique, en tant que chef de projet AMOA. L’alternance s’étant bien passée, je suis restée au sein du groupe pendant 5 ans.

3 ans après mon premier poste chez Auchan, je devenais Business Analyst dans la direction informatique digitale du groupe, pour l’international. Depuis peu, j’ai quitté Auchan pour intégrer le groupe Okaïdi, en tant que chef de projet web. Nouveaux challenges !

Et si c’était à refaire ?

Je referais exactement la même chose, avec les mêmes personnes !

Quels souvenirs/anecdotes de tes années lycée à l’Institut ?

Elles font parties, je pense, de mes plus belles années d’études ! Je me souviens des Jungle Speed endiablés avec les copines le midi, dans la Maison du Lycéen, avec en fond sonore la radio des étudiants et leurs dédicaces !

Aurélie Le Fur

Ce que tu voulais faire en 2008 lorsque tu as eu ton bac ?

Mon choix n’était pas clair : psychologue, journaliste, sciences politiques … Le choix étant flou, j’ai choisi la solution la plus attrayante (ou facile) pour moi et suis donc partie vers une licence en communication.

Ce que tu as fait depuis 10 ans et ce que tu fais aujourd’hui ?

Je suis d’abord partie vers un parcours autour de la communication, avec l’idée de m’orienter vers le métier de journaliste. Puis vers la fin de ma licence, le goût de l’écriture ayant fait lumière, j’ai décidé de m’orienter vers un master en alternance. J’ai donc débuté ma carrière professionnelle en tant que rédactrice dans une petite entreprise.

À la fin de mon master, pas entièrement convaincue de mon choix professionnel, je me remets en question et décide de refaire le point sur mes envies. Je décide donc de reprendre une année supplémentaire dans un Master à lIAE, pour devenir chargée d’études Marketing.

À l’issue de mon stage, je suis embauchée dans un cabinet d’études où je suis restée jusqu’Avril de cette année. Je suis actuellement dans un autre cabinet d’études (Opsio) où je suis toujours chargée d’études marketing mais où je fais des études plus en lien avec mes envies (études consommateurs : typologie, habitudes, …).

En parallèle, une nouvelle remise en question m’a poussée également à reprendre des études cette année (à distance à l’Université de Toulouse), cette fois-ci de Psychologie. Choix que j’avais envisagé en fin de Terminale mais pour lequel je n’avais finalement pas opté.

Et si c’était à refaire ?

L’ensemble de mon parcours m’a permis d’approfondir mon projet professionnel, et de ne pas avoir de regret sur des métiers qui m’intéresseraient peut-être puisque je les ai déjà « pratiqué ». Cela a permis de me forger, tant professionnellement que personnellement, et j’ai toujours soif de découvertes.

Quels souvenirs/anecdotes de tes années lycée à l’Institut ?

Un cadre agréable pour grandir et surtout une ambiance qui te donne envie de venir étudier.

Une classe soudée composée de différents groupes mais ouverts et complémentaires.

Des soirées ensemble, du partage, un dernier jour mémorable.

J’y ai rencontré des amis qui m’ont accompagnée depuis, dans mes moments de joie mais aussi de tristesse, sur qui je peux compter encore aujourd’hui, même si l’on se voit moins qu’avant.

Et puis, sans le savoir à l’époque (étant dans la même classe), j’y ai également rencontré celui qui partage ma vie depuis maintenant 5 ans !

Pour moi l’institut c’est donc tant une source d’apprentissage que le synonyme de rencontres qui me marqueront à jamais, une étape préparatrice à ma vie d’adulte.

Eugénie delecour

Ce que tu voulais faire en 2008 lorsque tu as eu ton bac ?

En 2008, je voulais faire des études de communication. Ne sachant pas trop dans quel domaine, j’ai choisi une école à Tournai (HELHa) qui propose un cursus en 3 ans avec beaucoup de stages dans 3 domaines différents : relations publiques, journalisme, et animation socio-culturelle.

Ce que tu as fait depuis 10 ans et ce que tu fais aujourd’hui ?

Après avoir terminé mes études, j’ai très rapidement trouvé du travail à Tournai chez un grossiste en chauffage. Je m’occupais de toute la communication interne (élaboration de formations, team-building, création d’outils marketing,…) et de la communication externe vers les clients (newsletters, élaboration de catalogues, goodies,…). J’y suis restée 4 ans et demi. Depuis 2016, je travaille au service Planification d’Urgence de la Zone de Secours de Wallonie Picarde en Belgique (regroupement de 15 casernes de pompiers). La mission principale de mon travail est d’anticiper et de planifier au mieux les interventions de grandes ampleurs (inondations, feu d’usine chimique, acte terroriste).

Pour cela, nous créons différents outils pour que les pompiers puissent intervenir plus vite et plus efficacement sur ce type d’intervention qu’ils n’ont pas l’habitude de côtoyer quotidiennement. Le deuxième volet de mon travail est la formation des officiers pompiers à ces nouveaux outils.

Et si c’était à refaire ?

Je pense que j’aimerais ajouter une expérience à l’étranger.

Quels souvenirs/anecdotes de tes années lycée à l’Institut ?

J’ai beaucoup apprécié notre mission humanitaire au Sénégal ainsi que le projet Comenius avec des étudiants italiens et grecs.

Julie KOWALOWKA

Ce que tu voulais faire en 2008 lorsque tu as eu ton bac ?

Après le bac, je n’avais pas forcément d’idée de ce que je souhaitais faire. Je me suis donc orientée vers ce qui me plaisait le plus à savoir l’économie. Je me suis dit qu’une école de commerce me permettrait de découvrir diverses matières et de trouver ma voie. J’ai passé le concours ACCESS qui m’a permis d’intégrer l’IESEG à Lille en post-bac

Ce que tu as fait depuis 10 ans et ce que tu fais aujourd’hui ?

J’ai passé 5 ans à l’IESEG. 5 années bien riches entre les cours, les stages, les rencontres et les expériences à l’étranger : un stage à Londres suivi d’une année d’échange Erasmus en Finlande puis un stage en Espagne. J’ai choisi la filière Audit/Contrôle de gestion car c’est ce qui plaisait le plus. J’ai fait mon stage de fin d’études de 6 mois dans un cabinet d’audit KPMG à Marcq en Baroeul. Suite à ce stage, j’ai été embauchée et je suis toujours chez KPMG en tant qu’auditrice financier senior.
Côté personnel: je me suis mariée en juin 2017 avec Julien Dutilleul. Et oui toujours ensemble depuis nos années Institut !!

Et si c’était à refaire ?

Je ne changerais rien… !!

Quels souvenirs/anecdotes de tes années lycée à l’Institut ?

Tellement ! Les pauses en Maison du Lycéen, la classe 28, les fous rires et surtout ce cadre de travail unique !!

Camille MEENS

Ce que tu voulais faire en 2008 lorsque tu as eu ton bac ?

À l’issue de mon BAC, je voulais suivre des études de marketing en école de commerce dans l’objectif de devenir chef de produit.

Ce que tu as fait depuis 10 ans et ce que tu fais aujourd’hui ?

Je suis effectivement rentrée à la Catho à Lille où j’ai suivi une licence économie-gestion et un double cursus préparatoire aux concours d’écoles de commerce. Je suis entrée à Rouen Business School (aujourd’hui NEOMA). J’ai eu énormément d’expériences professionnelles en France et à l’étranger pendant mes études, à la fois des petits boulots mais aussi des stages qui ont définitivement forgé mon avenir ! Dès la première année d’école je suis partie 6 mois à Singapour et les stages en marketing ont commencé, dans l’industrie cosmétique… pour finir en RH dans l’agroalimentaire ! Je suis aujourd’hui Responsable Ressources Humaines dans un grand groupe fromager Français à Paris. Voyages et apprentissages ont vraiment marqué ces 10 dernières années.

Et si c’était à refaire ?

Si c’était à refaire, je referais sûrement la même chose ! À l’exception près que, en y réfléchissant bien, je prendrais l’espagnol en 2eme langue dès que possible car l’allemand ne me sert pas beaucoup !

Quels souvenirs/anecdotes de tes années lycée à l’Institut ?

Énormément de souvenirs ! Premier jour de classe en 2nde, je suis arrivée en retard et je ne connaissais personne. La personne qui m’a ouvert la porte est aujourd’hui une de mes meilleures amies ! Je me souviens de la MDL (Maison des lycéens) et de la radio géniale animée par des élèves : ambiance et musique garanties matin et midi ! Des spectacles musicaux organisés dans l’école : une amie au chant et moi au piano… ou encore les cours de sport, notamment de la course à pied dans les champs derrière l’école ! Et puis enfin l’école qui se transformait au moment des portes ouvertes grâce au travail magnifique des étudiants paysagistes.